"33 Ans dans l'Eglise Adventiste du Septi�me Jour" |
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... Nous �tions d�j� v�g�tariens ; maintenant nous �liminions largement produits laitiers, vinaigre, oeufs, et sucre de notre alimentation. Nous nous demandions : mais qu'allons-nous manger ? Pas grand chose ! Mon poids chuta au-dessous de la normale, et je perdis toute �nergie ... ... Nous avons d�croch� toutes les photographies des enfants et de la famille de nos murs parce que Mme White a dit que c'�tait de l'idol�trie ; j'ai annul� notre assurance-vie parce que Mme White a dit qu'un adventiste n'a pas besoin d'assurance-vie. ...n�glig� d'acheter des actions retraite parce que Mme White a dit d'�viter tels investissements.... |
Ce t�moignage nous a �t� aimablement fourni par Dirk Anderson et les collaborateurs du site http://www.ellenwhite.org Please feel free to publish it. 06/2002 |
N� dans l'Eglise Adventiste (SDA)
Je suis n� � l'h�pital adventiste nomm� Florida Hospital � Orlando, Floride, USA. Personne n'aurait imagin� que je passerais plus tard une partie de ma carri�re adulte � travailler dans ce m�me h�pital. � ce moment-l�, le Florida Hospital �tait petit, ce n'�tait pas l'organisation d'un milliard de dollars qu'elle est aujourd'hui Les administrateurs percevaient encore un salaire de pasteur. L'h�pital n'avait pas encore commenc� d'investir ses fonds dans le march� boursier. Au moment o� mon fils est n�, dans le m�me h�pital, les choses avaient dramatiquement chang�. C'est pourquoi l'Eglise dans son ensemble a tant chang�. Graduellement, l'Eglise s'�loignait des enseignements de ses pionniers.
Mon �ducation dans l'Eglise SDA
J'ai pass� 16 ans dans les �coles adventistes. Depuis mes plus jeunes ann�es, j'ai �t� �duqu� par les doctrines adventistes, uniques en leur genre. Ainsi j'ai appris au sujet de la Loi Nationale du Dimanche comment Catholiques et Protestants allaient s'unir pour pers�cuter ceux qui gardent le Sabbat. On m'a enseign� qu'Ellen G. White �tait la proph�te de Dieu et qu'elle a accompli des signes miraculeux, tels que ne pas respirer ou tenir une lourde Bible avec le bras tendu pendant des heures. Plus �g�, j'appris le sujet du jugement investigatif et des messages des trois anges. Je vivais dans un �tat de crainte permanente m�l�e d'esp�rance. Je craignais la persecution et le temps du trouble, mais je souhaitais la venue de Christ. Tout le monde continuait de me dire que J�sus venait tr�s bient�t, probablement dans une ann�e ou deux. � plusieurs reprises des gens ont pr�dit des dates ; moi j'�tais excit� et inquiet ; mais la date passait et tout continuait comme auparavant.
Grandissant, j'ai appris que les adventistes constituaient le seul vrai Reste de Dieu. Dieu �tait en train de les purifier et de les �valuer, pour les pr�parer � rester debout et parfait, sans m�diateur devant Lui. Pour l'enfant que j'�tais, c'�tait un lourd fardeau � porter. J'ai essay� d'�tre parfait et j'ai tent� de garder le Sabbat parfaitement, mais je m'apparaissais toujours insuffisant. J'ai bien regard� autour de moi des gens parfaits, mais n'en ai jamais trouv� aucun. Les adventistes que je connaissais �taient g�n�ralement de braves gens, mais je pouvais d�tecter une petite diff�rence entre eux et les autres chr�tiens. La plupart des adventistes que je connaissais ne buvaient pas de caf� (au moins pas devant les autres) et ils ne portaient pas de bijoux (� part broches et �pingles) ; mais venant aux caract�ristiques de l'Amour, de l'acceptation, du pardon, de la puret�, honn�tement je ne pouvais pas voir chez les adventistes une quelconque sup�riorit� sur les autres chr�tiens.
Le coll�ge fut une exp�rience qui m'a ouvert les yeux. L'�loignement de l'environnement restrictif familial a sembl� r�v�ler le pire, tant chez moi que chez les autres �tudiants. La mont�e et descente des halls du dortoir ressemblait � une salle de concert de rock, avec une douzaine de bandes orchestres [metal bands]. La seule pause de musique rock avait lieu le samedi, quand les �tudiants taisaient les d�cibels pour �viter la r�primande.
Un jeune adventiste loua m�me des vid�os pornographiques, et fit payer un droit d'entr�e dans sa chambre pour venir les voir. Il �tait �tonnant de voir 25 jeunes empil�s dans une chambre de dortoir, regarder une telle vid�o.
Le samedi soir, les �tudiants d�sertaient le dortoir vide pour les bars et clubs locaux. J'observais parfois comment les �tudiants marchaient (ou chancelaient) pour rentrer au dortoir, les yeux rouges. Les �tudiants pouvaient cacher bi�re, pornographie et couteaux dans leur chambre. De temps en temps, le doyen faisait un raid dans la chambre de quelqu'un, et confisquait le mat�riel ill�gal.
Dans le dortoir j'eus l'occasion de faire la connaissance de l'arri�re-arri�re petit-fils d'Ellen White, Steve White ; sa chambre de dortoir �tait proche de la mienne. C'�tait un gars sympathique, mais ne s'impliquait pas en quelque activit� o� les autres �tudiants s'engageaient.
Un �tudiant fut expuls� tandis que j'�tais au dortoir ; c'�tait un �tudiant se trouvant dans le hall au-dessous du mien, nomm� Kevin ; amical, il �tait appr�ci� et tr�s dou�. Il a �t� renvoy� pour activit� homosexuelle. Il fut transf�r� dans un coll�ge adventiste sur la c�te Ouest. Plus tard � 19 ans, il s'est suicid� ; je ne sais pas pourquoi il s'est tu�, je pense qu'il ne pouvait plus supporter le poids de son sentiment d'imperfection.
Je me suis converti � l'�ge de 21 ans. Quelques mois avant cette exp�rience j'ai commenc� de prendre conscience de ma propre culpabilit�, que je n'avais jamais comprise auparavant. Je commen�ai � chercher des r�ponses et quelqu'un me donna une copie d'un des livres du pasteur adventiste Morris Venden. Comme je le lisais, je d�couvris quelque chose qui devait changer ma vie pour toujours : "le Salut est par la foi". C'�tait un nouveau concept, renversant pour moi. Jusque-l� j'avais l'impression que j'�tais sauv� en �tant ob�issant � Dieu, et en observant les Dix Commandements. Je ne puis expliquer pourquoi je pensais que j'�tais sauv� par les �uvres, personne ne m'a jamais dit que j'�tais sauv� par les �uvres, c'�tait juste quelque chose que je tirais de mon exp�rience et de ma scolarit�. J'ai commenc� de voir les choses sous un nouveau jour. Je me suis abandonn� � Dieu et lui ai consacr� ma vie.
Je fus tant excit� par ma nouvelle naissance que je voulus �tre le meilleur adventiste qu'il �tait possible d'�tre. Ainsi je m'engageai dans une routine qui devait durer plus de dix ans. J'ai commenc� de lire quotidiennement les �crits d'Ellen White, parfois pendant des heures d'affil�e. � force de d�pense, je me suis constitu� une biblioth�que comprenant plus de 50 livres d'Ellen White. J'ai achet� un CD-ROM sur ses �crits, et m'en suis immerg�. En tout, j'ai relu 10 000 pages de ses �crits ; je retenais des passages entiers en m�moire. J'ai commenc� de distribuer "Le Meilleur Chemin" (Vers J�sus) � mon travail et � des amis. Le Sabbat apr�s-midi, je faisais du porte � porte, distribuant les livres d'Ellen White � plus de 1000 exemplaires (Le Meilleur Chemin).
Le Projet "Trag�die des Si�cles"
En 1992 je m'impliquai dans le "Projet Trag�die des Si�cles" sponsoris� par un minist�re ind�pendant, appel� "Minist�re Finir le Travail", Tandis que je vivais � Jacksonville en Floride (USA) je lan�ai le projet d'�couler 110 000 cartes, en offrant aux gens un exemplaire gratuit de La Trag�die des Si�cles. Je suis sur la photo de droite, remettant une Trag�die des Si�cles � un non-Adventiste, photo qui parut dans le magazine Focus Floride, de la Conf�rence de Floride (Vol. 9, #4, 1993). J'aurais pu devenir plus tard le pr�sident du Conseil de ce minist�re. C'est dans cette position que j'ai en premier exp�riment� un peu du combat qui continue si souvent entre membres d'�glise. Des d�saccords sur les �crits d'Ellen White et autres questions, compromirent finalement le minist�re. Le Directeur d�missionna et rejoignit le mouvement du Holy Name ; le conseil vota la dissolution du minist�re. J'ai assum� divers postes dans l'�glise Adventiste, comme tr�sorier, assistant du pr�sident de la jeunesse, diacre et responsable de minist�res personnels. J'ai conduit une classe d'�tude de la Bible les sabbats apr�s-midis, et accueilli un petit groupe dans ma maison le vendredi soir. |
Les �crits d'Ellen White ont eu un impact dramatique sur ma vie. Dans mes lectures, je commen�ai � d�couvrir nombre de r�gles que moi et plupart des adventistes, ne suivions pas. J'ai alors dress� une liste afin d'y ob�ir. Ma femme r�sista � ce processus, mais je la poussai en avant. Nous �tions d�j� v�g�tariens ; maintenant nous �liminions largement produits laitiers, vinaigre, oeufs, et sucre de notre alimentation. Nous nous demandions : mais qu'allons-nous manger ? Pas grand chose ! Mon poids chuta au-dessous de la normale, et je perdis toute �nergie. L'insuffisance de nourriture combin�e avec le stress de s'obstiner � vivre une vie parfaite, eut des r�percussions sur ma sant�, dont je ne me suis jamais remis.
Outre les changements alimentaires, je d�cidai encore d'autres changements; je refusais de porter l'anneau de mariage, insistant pour que ma femme fasse de m�me; j'�vitais de m'associer aux non-adventistes, si ce n'est pour les convertir � l'adventisme. J'�vitais de consulter les docteurs et de me soigner par les m�dicaments de n'importe quel genre, y compris l'aspirine. Nous avons d�croch� toutes les photographies des enfants et de la famille de nos murs parce que Mme White a dit que c'�tait de l'idol�trie ; j'ai annul� notre assurance-vie parce que Mme White a dit qu'un adventiste n'a pas besoin d'assurance-vie. J'ai n�glig� d'acheter des actions retraite parce que Mme White a dit d'�viter tels investissements. Je suis m�me all� jusqu'� demander � mon �pouse de trouver une femme gyn�cologue parce que Mme White a dit qu'il �tait incorrect pour une femme de consulter un gyn�cologue homme.
Je rejoins les rangs de l'Adventisme "Historique"
J'ai bient�t constat� que mes croyances rigides en Ellen White me placaient en-dehors du courant dominant de l'adventisme. Tandis que la plupart des adventistes professent une croyance en Ellen White, peu d'entre eux suivent en r�alit� les d�tails de ses enseignements ; ceux qui suivent les enseignements traditionnels d'Ellen White, et les pionniers SDA, sont appel�s les "Adventistes historiques". J'ai commenc� de m'associer de plus en plus aux organisations ind�pendantes de l'�glise adventiste, comme Hope International ; je pensais que ces groupes pr�chaient et d�crivaient Ellen White comme le "T�moignage Droit". Ainsi j'ai commenc� de fr�quenter une �glise ind�pendante et suis all� � des camp-meetings ind�pendants ; j'ai rencontr� et parl� avec beaucoup de leaders du mouvement ind�pendant, notamment Ron Spear, Jan Marcussen, Colin, et Russell Standish. Rapidement, je d�couvris que les m�mes combats et conflits continuant dans l'�glise adventiste officielle, se retrouvaient dans les minist�res ind�pendants, seulement � un niveau plus �lev�. Il y avait des arguments sur les interpr�tations proph�tiques, les versions de la bible, la mani�re d'observer le Sabbat, la di�t�tique, et autres questions. Il y avait cependant unanimit� : la structure officielle Adventiste �tait corrompue et avait besoin d'�tre r�form�e.
Mes tentatives pour d�fendre Mme White
En 1996 je d�couvris du mat�riel sur Internet attaquant Mme White comme proph�te. J'�tais outrag� ! indign� que quelqu'un puisse critiquer un proph�te de Dieu. Durant des ann�es, j'avais dit aux adventistes comment ils devaient ob�ir � Ellen White ; j'�tais devenu expert dans l'identification des personnes ne suivant pas les r�gles d'Ellen White, et j'�tais avide de les critiquer pour leur mollesse � ne pas suivre ses normes. D�sormais je m'assignai la nouvelle mission de la d�fendre sur Internet. J'ai cr�� une page web et ai concoct� des arguments, essayant de dissiper certaines de ses d�clarations insolites comme l'amalgame. Je me suis forc� � toutes sortes de " gymnastiques mentales " en m'imposant d'expliquer les choses, et j'ai commenc� � me demander si je ne repoussais pas les limites de l'honn�tet�.
Des fissures apparaissent dans l'armure de Mme White
Mon premier doute concernant Ellen White vint quelques mois plus tard en ouvrant mon site web la d�fendant. Le fr�re William Fagal, directeur du White Estate m'envoya un E-mail indiquant que certains documents de mon site web �taient incorrects. Le mat�riel en question �tait de J.N. Loughborough et avait rapport avec l'histoire de William Foy, l'homme qui re�ut des visions avant Ellen White. Fagal notait que les derni�res recherches prouvaient que Loughborough s'�tait tromp�. Je commen�ai � me demander qui d'autre que Loughborough avait �crit, et s'�tait aussi tromp�. Que penser de l'histoire de la grosse Bible ? Que penser de l'arr�t de la respiration dans les visions ? Je commen�ai � me demander pourquoi Loughborough aurait livr� une information incorrecte, et quel �tait son intention en r�crivant l'histoire. N�anmoins, je d�cidai de mettre mes doutes de c�t�, ayant confiance qu'Ellen White �tait proph�te de Dieu.
Ma r�sistance contre l'effondrement d'Ellen White
Environ un mois plus tard, un ancien pasteur SDA, Dale Ratzlaff, me d�fie de lire le livre de Canright au sujet d'Ellen White. Je d�cidai de lire le livre avec l'intention de le r�futer. Je le lus et le trouva tr�s inqui�tant, mais j'�tais d�termin� � le prouver en faux. Ainsi je suis all� v�rifier � la librairie universitaire adventiste locale, et commen�a � d�nicher tous les vieux documents que je pouvais trouver sur Ellen White et les pionniers ; j'y ai pass� beaucoup d'heures en tamisage de documents. A ma stup�faction, je ne pus rien trouver qui puisse r�futer Canright. En fait, tout ce que je trouvais semblait confirmer ce que Canright avait �crit. Je fus perplexe. Je commen�ai � creuser l'enseignement de la Porte Ferm�e et d�couvrai qu'Ellen White avait en effet vu la porte du Salut ferm�e aux p�cheurs en 1844, dans au moins une de ses visions. Je lus la vision encore et encore, tentant de lui donner sens. Je luttai avec la vision, employant au mieux ma gymnastique mentale pour essayer de la changer afin que je puisse lui donner un sens, mais je ne pus. Je ne pouvais pas la contourner. Mme White avait vu un mensonge en vision. J'�tais boulevers� et contrari�. Je d�cidai d'�tudier davantage avant de prendre une d�cision.
Je commen�ai d'�tudier sa condition m�dicale. Ses propres docteurs SDA l'avaient diagnostiqu� comme �tant victime d' hyst�rie et de catalepsie ; aussi je me mis � �tudier sur ces conditions. J'ai constat� que les gens dans ces conditions, faisaient l'exp�rience d'hallucinations, que leur corps devenait rigide et que leur respiration s'arr�tait presque. J'ai aussi d�couvert que ces conditions peuvent �tre provoqu�es par un traumatisme au cerveau. De plus, j'ai d�couvert que ces conditions se manifestent habituellement chez les femmes, et que les sympt�mes cessent souvent � mi-vie, juste comme Mme White dont les visions ont diminu� et par la suite disparu � mi-vie. Je commencai � me demander pourquoi Dieu donnerait � quelqu'un des visions qui d'une certaine mani�re, ressemblent si �troitement au mod�le d'une condition m�dicale connue ? Cela semblait au mieux, �tre une co�ncidence peu probable.
Le point fatal fut le Jour des Expiations. Je me suis assis et lu L�vitique 16, et H�breux 9 et 10 ; je les ai lus encore et encore, et dans le lexique grec j'ai consid�r� les mots. Tout ce que j'ai lu indiquait que Christ est entr� dans le Lieu Tr�s Saint lors de son ascension. Sans les visions d'Ellen White, je ne pouvais placer le Jour des Expiations en 1844. La bible le place clairement en l'an 31 de notre �re.
Je fus finalement forc� d'admettre, par le poids accablant de l'�vidence, que Mme White n'�tait pas proph�te de Dieu. Ce fut d�vastateur pour moi ; je suis physiquement tomb� malade, alit� pendant six jours, diminu� et d�courag�. Il m'a fallu plusieurs mois avant que je ne demande ma radiation de l'�glise Adventiste du Septi�me Jour. Je ne pouvais plus soutenir une organisation que je ne sentais plus �tre enti�rement honn�te au sujet du minist�re d'Ellen White.
J'ai d�couvert que je n'�tais pas seul ; beaucoup d'actuels et anciens adventistes ne croient plus qu'Ellen White �tait proph�te. Beaucoup de leaders d'�glise sont conscients des probl�mes que pose Ellen White, mais ne discutent pas de ces probl�mes avec des membres d'�glise. On permet aux membres d'�glise de croire un pieux (White) mensonge. Il y a des professeurs de th�ologie, des pasteurs, et des �tudiants qui ne croient pas en ce pieux (White) mensonge ; cependant ils doivent professer un certain niveau de croyance en elle, pour maintenir leur position. Je suppose qu'ils justifient leur manque de franchise en pr�tendant que lire Ellen White ne fera de mal � personne. Je peux certifier que ce fait est un mensonge ; suivre toutes les injonctions de Mme White peut non seulement causer du stress inutile, et un malaise dans votre vie, mais aussi r�ellement finir par vous co�ter la vie. Comment ? Ses recommandations extr�mes en di�t�tique, ou le refus de docteurs et de m�dicaments, peuvent vous co�ter la vie ; je puis aussi attester la perte de vie spirituelle. Je n'ai jamais autant d�velopp� un esprit dur, critique, et de jugement, qu'en lisant ses T�moignages. Si vous trouvez que mes pages Web actuelles sont rudes, ayez piti� de moi. Dieu travaille toujours pour que cet esprit sorte de moi !
Je suis reconnaissant � Dieu de m'avoir r�v�l� la v�rit� sur Ellen White. J'adore (c�l�bre le culte) toujours le Sabbat, mais je ne crois plus que le Sabbat soit le Sceau de Dieu ou la marque identifiant un peuple sp�cial de Dieu. Quand je ne suis pas en visite dans une �glise Adventiste, je m'occupe de l' �glise de Dieu (du Septi�me Jour). Je n'encourage pas les gens � quitter l'�glise adventiste ; elle se conforme plus � la Bible que d'autres �glises. J'encourage les gens � suivre les recommandations de Dieu. Pour moi ce fut la bonne d�cision, mais il se peut que ce ne soit pas la bonne d�cision pour vous. Je n'ai jamais regrett� de quitter l'�glise Adventiste. Mon seul regret est que des leaders d'�glise ne m'aient pas dit la v�rit� au sujet d'Ellen White.
Je veux vous rendre accessible l'information sur Ellen White, ce qui m'a pris des mois et des mois de recherche. Je voudrais que vous ayez l'occasion d'examiner toutes les preuves qui vous permettront de prendre une d�cision en toute connaissance, quant � l'inspiration d'Ellen White. L'�glise Adventiste rend un mauvais service � ses membres, en ne livrant seulement qu'une information partielle sur Ellen White. Le jour o� l'�glise Adventiste commencera � communiquer une information compl�te � son sujet, sera le jour o� j'en aurai fini avec ce site Web.
Veuille Dieu vous b�nir dans votre marche avec Lui,
Dirk Anderson
Articles chr�tiens publi�s par Dirk Anderson
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